Le « community management » est à la mode. Mais les marques ont tendance à privilégier la com’ de crise et les cas d’échec font la une des médias. Pourtant, des expériences réussies existent.
Marco Bertolini‘s insight:
A rebours des « fails » qui abondent dans le « community management » des marques, voici quelques exemples particulièrement réussis : le Coca-Cola rose n’est pas pour demain, et non, les règles ne sont pas une « période heureuse pour les femmes ». Et la Redoute a profité de son « homme nu » sur les photos de vêtements pour enfants pour lancer un défi aux internautes.
Des exemples qui montrent, preuves à l’appui, comment des marques se sont non seulement sorties de situations difficiles, mais ont marqué des points en marketing.
Dans tous les cas : en instaurant un véritable dialogue avec l’internaute.
Mais c’est la base du « community management », non ?
Comment illustrer les différentes facettes d’un sujet?
Et comment illustrer les relations entre les différentes dimensions d’un problème ?
Une concept map ou carte conceptuelle peut vous aider.
J’ai examiné un sujet qui préoccupe les Français en ce moment : celui des biocarburants.
Comment représenter visuellement les relations entre les différentes dimensions d’un problèmes ? Ou entre les différents concepts d’une même théorie ?
Si la mindmap constitue un excellent outil d’exploration des concepts, de leur hiérarchie, la carte conceptuelle ou concept map présente une solution élégante à la visualisation des relations entre concepts.
Il est clair que les biocarburants sont une énergie renouvelable et donc nous libéreraient en partie tout au moins de notre dépendance aux énergies fossiles. C’est une bonne nouvelle !
Ses partisans mettent en avant une réduction des effets de serre. Mais des études viennent contredire ces affirmations : l’énergie dépensée pour produire ces carburants seraient nettement supérieure au gain pendant la combustion. En outre, les engrais et la motorisation des cultures, le transport, la transformation seraient plus producteurs de gaz à effet de serre que le CO2 dégagé par les carburants fossiles.
Une déforestation massive
Les écologistes mettent aussi en avant la déforestation – comme celle des forêts du Brésil, détruites pour produire toujours plus de soja, ou celles d’Indonésie et de Malaisie, mises en danger pour la production d’huile de palme… Les monocultures d’exportation comportent des risques : destinées à l’exportation, elles profitent aux grands groupes, mais ne nourrissent pas les populations locales. Elles présentent une faiblesse face aux maladies : on se souvient du mildiou qui a ravagé les pommes de terre irlandaise au 19e siècle, contribuant ainsi à la famine et l’exode de milliers de familles vers les Etats-Unis.
Une spéculation hasardeuse
Et enfin, risque non négligeables pour des populations toujours au bord de la disette, la production de ces carburants dits « verts » engendre une spéculation qui affecte le prix des denrées alimentaires de base : la hausse actuelle des prix de base ne serait pas due uniquement à la sécheresse sévissant aux Etats-Unis, mais surtout à la spéculation de Wall Street sur le prix des denrées et le succès des biocarburants…
Un rapport de la Commission Européenne évalue l’enseignement en Europe. Il s’agit des grandes tendances générales de l’évolution récente de l’enseignement au sein des pays-membres. Une amélioration globale des systèmes d’éducation, mais aussi quelques risques : celui de moins investir face à la crise économique, un danger de pénurie dans plusieurs pays du continent et des jeunes surqualifiés par rapport à l’emploi qu’ils occupent…
Ce vendredi 10 février, la Commission européenne présentait à Bruxelles son dernier rapport sur l’état de l’enseignement en Europe : Chiffres clés de l’éducation en Europe 2012. Les grandes tendances qui s’en dégagent peuvent se résumer en 5 points :
Des réformes qui tendent à offrir une éducation de base pour tous
Une augmentation globale de la qualité de l’enseignement en Europe
Des investissements inchangés dans certains pays mais réduits dans d’autres face à la crise
Une meilleure formation des enseignants mais aussi un risque de pénurie dans certains pays
Une augmentation des jeunes qualifiés, dans le tertiaire, mais aussi des jeunes surqualifiés par rapport aux emplois qu’ils occupent
Cliquez sur la carte pour obtenir le fichier XMind
1. La plupart des pays d’Europe ont entamé des réformes qui étendent l’offre éducative de base pour tous. Autrement dit, tout le monde ou presque peut bénéficier d’un enseignement de base en Europe.
Partout, les auteurs constatent un allongement de la scolarité obligatoire, généralement aux environs de 18 ans.
La tendance générale est également d’accroître l’autonomie des écoles au niveau local.
2. Les chercheurs constatent également une augmentation globale de la qualité de l’enseignement en Europe. De plus en plus de pays font appel à des procédure « d’assurance-qualité » afin d’évaluer leurs systèmes d’enseignement.
3. Les investissements dans l’enseignement sont restés globalement inchangés face à la crise de 2008. Mais, certains pays ont tendance à revoir les subsides à la baisse en réponse aux difficultés budgétaires. Or, l’éducation et la formation sont les seuls avantages comparatifs que l’Europe peut encore avoir face aux concurrents extérieurs dans une économie globalisée. Le danger est donc réel d’un déclin de notre compétitivité dans une économie de plus en plus tournée vers la connaissance.
4. La qualité de formation des enseignants augmente aussi. Et les chercheurs voient une volonté de continuer à améliorer cette formation. Mais, la profession est de moins en moins attractive et certains pays, dont la Belgique et Bruxelles en particulier risquent de connaître une grave pénurie d’enseignants dans les toutes prochaines années. En outre, de nombreux jeunes enseignants changent d’emploi avant 5 ans. Il faut donc trouver des pistes de valorisation.
5. Il y a une augmentation très nette des jeunes diplomés de troisième cycle, surtout dans les groupes d’âge 20-24 ans et 30-34 ans. Mais, ils occupent trop souvent des emplois sous-qualifiés par rapport à leur formation.
Les auteurs préconisent donc une meilleure adéquation de l’enseignement aux exigences du marché. Ils suggèrent deux pistes : anticiper ses besoins par une observation du marché du travail à court terme et adapter la formation par des modules courts de spécialisation qui permettraient de réponde rapidement aux besoins.
Si le paysage général brossé par les auteurs est plutôt positif, certains danger menacent et, à moyen terme, risquent de fragiliser davantage l’économie européenne : la pénurie d’enseignants prévue dans plusieurs pays, la réduction des budgets de l’enseignement face à la crise économique et le manque d’adéquation entre la formation et un marché du travail en évolution rapide et constante.
Encore une fois, la formation est le seul levier que l’Europe puisse encore actionner pour rester compétitive face aux économies émergentes. Des pays d’Asie investissent énormément dans la formation de leurs jeunes. Les jeunes des pays du Golfe sont de plus en plus nombreux dans les universités occidentales, mais aussi à Singapour ou à Tokyo.
Si l’Europe n’investit pas massivement dans la formation et l’enseignement, elle se condamne elle-même au déclin économique à moyen terme. Ce n’est pas dans quelques années qu’il faut agir : c’est maintenant !
Pourquoi quitter mon job actuel ? Dois-je changer d’emploi maintenant ? Alors que c’est la crise ? Oui, mais, je ne me sens plus à l’aise dans mon job. Je ne trouve plus de sens dans ce que je fais…
Craintes justifiées et questions légitimes
Dois-je changer d’emploi maintenant
Changer d’emploi n’est jamais simple : c’est une prise de risque, surtout en période de crise. Les mauvaises nouvelles économiques, la peur du lendemain, la pression de la famille : tout vous pousse à rester ! Tout vous incite à minimiser les risques.
Et pourtant, au fond de vous, vous sentez que vous ne prenez plus aucun plaisir à effectuer les mêmes tâches journalières. Les défis qui vous faisaient vibrer hier encore vous laissent indifférent(e).
Vous sentez que vous avez fait le tour de votre emploi. Que les perspectives d’évolution se réduisent chaque jour. Vous avez le sentiment de ne plus être à votre place.
Pire : vous avez le sentiment que vous vous dégradez professionnellement, que vos compétences s’émoussent dans un job routinier où vous ne vous investissez plus…
Il est sans doute temps de vous poser les bonnes questions… et de prendre la bonne décision !
Voici donc 10 (bonnes) raisons d’envisager le changement :
1. L’entreprise pour laquelle vous travaillez connaît des difficultés
Elle perd sa place de leader sur le marché, ses résultats ne sont pas bons, etc. Est-ce une tendance générale dans le secteur ? Dans ce cas, il vaut peut-être mieux attendre des jours meilleurs. Si par contre, votre entreprise pique du nez alors que l’ensemble du secteur est florissant, c’est peut-être le moment d’aller proposer vos compétences ailleurs… Cela peut paraître paradoxal, mais il est toujours plus facile de trouver un nouvel emploi alors qu’on est toujours en activité que lorsqu’on est au chômage.
2. Votre situation personnelle a changé
Vous venez de vous marier. Ou vous avez un nouvel enfant. Et le salaire ne suffit peut-être plus à couvrir vos nouvelles dépenses. Demandez une augmentation. Ou à changer vos conditions de travail : un meilleur horaire, un aménagement du temps de travail, ou encore des avantages en nature qui correspondent à votre nouvelle situation. Et si on vous les refuse, changez d’air…
3. Vos relations avec votre patron se sont dégradées et on atteint un point de non-retour
Il vaut mieux envisager un départ volontaire dans les meilleures conditions. Un licenciement résultant de mauvaises relations se passe rarement bien. Certains employeurs utiliseront ces mauvaises relations comme indice de faute grave et vous risquez alors de perdre vos droits aux allocations de chômage. Mieux vaut anticiper et postuler dans une entreprise concurrente…
4. Vous ne vous sentez plus en phase avec les valeurs de votre entreprise
Grave !
C’est le premier pas vers le burn out : cet épuisement physique ET psychologique qui touche malheureusement des travailleurs de plus en plus nombreux et pas seulement des cadres… Il est temps de mener une réflexion en profondeur sur votre carrière et d’envisager non seulement un changement d’emploi, mais peut-être même une réorientation complète… Car les valeurs de l’entreprise sont peut-être toujours les mêmes, mais VOUS avez évolué. Et vous ne vous reconnaissez plus dans ce qui faisait votre quotidien.
5. Votre entreprise ne respecte pas l’éthique et vous vous sentez mal à l’aise
Politique mensongère à l’égard des clients, collègues maltraités ou remerciés sans raison, etc. Certaines entreprises prennent vraiment l’éthique à la légère.
Cette distance entre vos valeurs et les pratiques de votre entreprise peut engendrer du burn out de la même manière que le point précédent. Il vaut mieux prendre vos distances avant qu’il ne soit trop tard… Si vous envisagez de dénoncer ces pratiques, informez-vous d’abord des possibilités de protection des « lanceurs d’alerte » dans votre secteur…
6. Vous ne prenez plus de plaisir dans votre job actuel
Vous venez au travail avec des pieds de plomb ? Toutes les excuses sont bonnes pour retarder le moment du départ, le matin ? Ou pour être absent ? C’est le signe : vous avez fait le tour de votre job et des satisfactions qu’il vous procure. C’est le moment de partir…
7. Votre patron ou votre supérieur vous considère comme n’étant pas à votre place
Partez avant qu’on ne vous licencie !
Vous avez peut-être de bonnes raisons de vous absenter ou de ne pas être aussi productif que votre employeur le souhaite…
Mais il vaut mieux partir de vous même que d’attendre un licenciement dans de mauvaises conditions. Surtout si l’appréciation négative se transforme en licenciement pour faute lourde…
8. Vous ne vous sentez pas à votre place dans votre équipe
Vous ne parvenez pas à communiquer vraiment avec vos collègues. Vous ne vous êtes jamais vraiment intégré à l’équipe. Et vous sentez que cela ne va pas s’arranger…
Partez : il y a sans doute une entreprise et une équipe sympa qui ne demandent qu’à vous tendre les bras. Si ce n’est pas la première fois que vous vivez ce type d’expérience, posez-vous des questions : votre attitude en équipe est-elle de nature à vous intégrer ? Pensez peut-être au coaching emploi ?
9. Votre niveau de stress est tellement élevé que vous n’arrivez plus à vous concentrer sur votre travail
Attention ! Danger ! Contrairement à une idée reçue, le stress est bon pour le travail. Un peu de stress vous aide à travailler plus vite et mieux. Mais un stress trop élevé pendant une période trop longue a un impact terrible sur votre santé physique et psychologique. Interrogez-vous. Si le stress provient de votre job et que vous ne pouvez rien n’y changer… changez d’emploi !
10. Vous ne vivez plus votre job comme un défi, vous n’assumez pas assez de responsabilités
Vous êtes compétent et vous maîtrisez les différentes tâches et responsabilités qu’implique votre job. Mais vous sentez que vous en avez fait le tour. Peut-être est-il temps d’avoir une conversation avec votre patron ou votre supérieur direct : un changement de tâches, de responsabilités, voire de poste au sein de la même entreprise est-il envisageable ? Sinon, il est sans doute temps d’aller cultiver votre savoir-faire ailleurs… Ce devrait être LA raison numéro 1 de quitter votre emploi !
Si vous avez répondu oui à une de ces raisons de quitter votre emploi, il est temps de réfléchir. Si vous avez répondu oui à plusieurs de ces raisons, il est vraiment temps de partir !
Faites-vous aider
Un spécialiste vous conseillera ou vous assistera pour la rédaction d’un CV et d’une lettre de motivation qui correspond à votre situation actuelle et à ce que vous recherchez. Un coaching emploi vous aidera à faire le point sur votre situation et vos motivations : pourquoi rester ? pourquoi quitter mon emploi actuel ? Comment mettre toutes les chances de mon côté ? Prenez contact avec un coach emploi ou un conseiller en gestion de carrière : il n’y a pas de honte à se faire aider. Et bénéficier d’un regard extérieur, neutre et professionnel, vous aidera vraiment à y voir plus clair.
Vous avez aimé cet article ? Inscrivez-vous à ma newsletter et ne ratez plus aucun article ou événément !
Au premier abord le métier de directeur financier peut sembler peu attractif. Les stéréotypes qui nous viennent tout de suite à l’esprit sont bien sûr : l’expert comptable qui effectue un travail répétitif et ennuyeux. Cela était peut-être le cas auparavant, mais aujourd’hui les choses ont bien changé. Les emplois liés aux chiffres sont plus intéressant du fait du développement du monde financier.
Un directeur administratif et financier est assimilé à un cadre. Il est responsable de son service et a de nombreuses responsabilités : l’optimisation de la gestion financière, l’entretien des relations avec les apporteurs de fonds et les investisseurs. Son rôle est également de gérer le budget et de veiller à sa bonne répartition. Un directeur administratif doit disposer de certaines aptitudes incontournables comme par exemple la rigueur, en effet, une erreur de virgule peut avoir de grave conséquence sue la vie de la société. C’est une personne en qui le chef d’entreprise doit avoir toute confiance. C’est lui qui met en œuvre la politique financière de l’entreprise.
Les directeurs financiers sont généralement issus d’école de commerce, ils doivent donc suivre un cursus scolaire de plusieurs années. Ils sont très recherchés par les entreprises car ils valident les décisions financières par rapport au budget annuel. C’est l’un des éléments déterminant dans le choix ou non de démarrer un nouveau projet ou de lancer un nouveau produit, car il veille sur les fonds de l’entreprise et est capable de dire s’il y a un budget suffisant pour ces projets. C’est également lui, ainsi que le chef d’entreprise qui sera en contact avec la banque pour une éventuelle demande de prêt.
Des sites de recrutements en ligne proposent aux entreprises différents profils de directeur financier. L’analyse de l’expérience, du parcours scolaire ainsi que des autres critères est beaucoup plus avancée que sur un curriculum vitae classique, ce qui permet aux sociétés de mieux appréhender les capacités et les aptitudes des personnes et donc de ne pas perdre de temps avec de nombreux entretiens d’embauche aléatoires.
Il est important de bannir les idées reçues que nous avons sur les directeurs financiers. C’est un métier qui ne connait pas la crise car toute société à un rapport direct avec l’argent, il y aura donc toujours besoin de professionnels dans le monde financier.
Vous n’avez pas terminé vos études ? Ou vous avez appris le carrelage sur le tas ? Vous avez pratiqué la coiffure en noir ?
Mais vous n’avez pas de diplôme ?
Comment mettre tout ça sur un CV ? Comment faire reconnaître ces compétences que vous avez apprise ailleurs qu’à l’école ?
Une bonne nouvelle : la validation des compétences !
En Belgique, depuis quelques années, il est possible de faire reconnaître des compétences que vous avez acquises autrement qu’à l’école. Ou que vous n’avez pas eu l’occasion de faire vérifier par un examen ou un diplôme. Pour la France, vous trouverez plus d’infos ici.
Pour quels métiers ?
Pratiquement, il existe un nombre croissant de métiers pour lesquels vous pouvez obtenir une reconnaissance officielle :
mécanicien automobile
employé des services commerciaux
aide-comptable
carreleur, coffreur, maçon, peintre en bâtiment
peintre industriel
électricien
technicien de scène de théâtre,
etc.
Vous trouverez la liste des métiers – mise à jour régulièrement – ici.
Comment ça se passe ?
C’est très simple : vous identifiez sur le site le métier qui correspond au vôtre.
Le responsable du stage vous fait remplir un formulaire, vous inscrit. Lorsque la date de l’épreuve est fixée, vous vous rendez au centre et vous montrez ce que vous savez faire. Par exemple, pour un maçon, on vous demande de monter un mur. Pour un électricien, on vous fera faire un montage électrique. Pas de théorie ou de blabla, ici : que de la pratique, du vrai, du concret !
Un jury, composé de professionnels et de formateurs du secteur, décide si vous avez réussi ou non.
Si vous avez réussi, on vous délivre un Titre de compétence : un document officiel qui confirme que vous maîtrisez votre métier.
Combien ça coûte ?
Rien ! Nada ! Shnoll ! C’est entièrement gratuit ! C’est pris en charge par le gouvernement.
Qu’est-ce que ça vaut ?
Un Titre de compétence n’est pas un diplôme, mais un document officiel qui certifie que vous êtes capable d’exercer un métier.
C’est ce qui intéresse vraiment une entreprise : savoir si, au moment où elle vous engage, vous êtes capable ou non de pratiquer ce qu’on vous demande. En un mot, si vous êtes rentable !
Et le Titre de compétence est un titre officiel reconnu par la Région wallonne, la Communauté française et la Région de Bruxelles-Capitale. Il est aussi reconnu par le Forem, Bruxelles Formation, l’Enseignement de Promotion Sociale, l’IFAPME et le SFPME.
La validation des compétences vous fait gagner du temps : vous n’avez pas besoin de (re-)suivre une formation pour avoir un diplôme – vous passez directement l’épreuve et vous savez tout de suite si vous avez réussi ou non.
C’est confidentiel : l’inscription et les résultats vous sont communiqués à vous et à personne d’autre. Si vous réussissez ou si vous ratez, personne n’en saura rien, sauf si vous avez envie de fêter ça avec vos amis ou votre famille, bien entendu !
Le taux de chômage aux Etats-Unis atteint des sommets jamais vus depuis la Grande Dépression des années 30 du vingtième siècle : 10% de la population active !
File de chômeurs en 1928
Soit un doublement en deux ans, puisqu’en 2007, le taux de chômage affichait 5%. Et encore : les experts s’accordent sur le fait que ce chiffre de 10% est sans doute sous-évalué, car il ne prend pas en compte les personnes qui ont abandonné toute recherche d’un nouvel emploi et ne se sont donc plus inscrites sur les listes donnant droit à une aide temporaire…