Prezi est la meilleure alternative à PowerPoint. Mais comment créer des présentations de qualité professionnelle avec Prezi ? C’est ce que je vous propose de découvrir dans cette formation 100 % en ligne, 100 % qualité !
Vous en avez assez des PowerPoint interminables ?
Vous avez votre dose de slides répétitifs à mourir ?
Des présentations ennuyeuses à périr ?
Des diapositives qui s’enchaînent sans beaucoup de sens ?
Alors, il est temps de passer à Prezi !
Une formation en ligne pour maîtriser Prezi comme un pro
Et pour vous y aider, je vous propose une formation 100 % en ligne.
Je suis un utilisateur de Prezi depuis de longues années (avril 2008, pour être précis) et j’ai formé des centaines de personnes en présentiel. Je l’ai également utilisé pour des dizaines de présentations que j’ai animées lors de conférences, séminaires, formations, colloques, etc.
Aujourd’hui, je vous propose de maîtriser Prezi, chez vous, à votre rythme, avec cette formation en e-learning. Vous vous connectez quand vous le souhaitez à notre plateforme d’e-learning. Et ce, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Vous visionnez les vidéos autant de fois que vous le souhaitez, sans limites. Et ce, pendant une période de deux ans à compter de votre inscription.
Prezi, la meilleure alternative à PowerPoint
Un programme complet depuis le débutant jusqu’au pro
Cette formation couvre toutes les dimensions de Prezi. Même si vous êtes débutant complet, cette formation vous conduira pas à pas vers la maîtrise de ce fabuleux logiciel de présentation.
Introduction : Caractéristiques de Prezi et différences avec PowerPoint
Créez votre première présentation Prezi
Partagez et exportez votre Prezi
Réutilisez vos anciennes présentations : Prezi et PowerPoint
Prezi en mode collaboratif
Prezi pour Mac et Windows, applications Android et iOS
Nous avons mis en ligne l’ensemble des photos et des documents de présentation du colloque Apprendre tout au long de la vie avec le Mind Mapping. Retrouvez-les sur notre site !
Lors du colloque, nous avons pu voir que nombreux étaient les participants qui prenaient des notes, certains sous forme de mindmaps, d’autres sous forme de croquinote (sketchnotes).
Voici par exemple, une mindmap réalisée par Xavier Delengaigne qui nous a fait l’amitié de participer à cette journée (cliquez sur l’image pour accéder à la carte interactive) :
Prise de notes de Xavier Delengaigne
Nous vous proposons de publier ces notes dans une autre galerie du site. Cela nous intéresse de voir ce que vous en avez retenu et comment vous avez interprété les contenus de cette journée.
Merci d’avance,
Marco Bertolini Fabienne De Broeck
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SlideDog est un logiciel révolutionnaire qui intègre tous vos médias dans une présentation unique. Et vous permet de dialoguer avec votre public à travers smartphones et tablettes. Le futur de la présentation interactive est déjà là.
Un logiciel qui intègre tous vos médias dans une présentation
Ceux qui suivent régulièrement ce blog vont se demander si je « trahis » Prezi, un logiciel de présentation que j’utilise depuis des années et que je considère comme l’alternative la plus crédible de Powerpoint.
Le logo de SlideDog
Pas pour créer une présentation, mais pour la présenter de manière interactive
Il n’en est rien car SlideDog, ce n’est pas un logiciel de création de présentation, au sens strict : vous ne pouvez pas créer de slides ou de présentations du type Prezi avec SlideDog. Mais, et c’est l’idée géniale, c’est un logiciel qui vous permet d’intégrer dans une même présentation différents médias que vous présenterez de façon « naturelle », sans devoir changer de logiciel.
Autrement dit, vous pouvez passer d’une présentation PowerPoint à un Prezi, faire une démonstration de votre site web ou encore afficher un PDF ; lancer une vidéo Youtube puis activer une infographie interactive d’Infogram… tout cela sans sortir de SlideDog.
La playlist : une collection flexible de médias de présentation
Pour ce faire, vous intégrer tous vos médias dans une playlist comme celle-ci :
Playlist pour une présentation SlideDog
Dans cette playlist, ci-dessus, vous avez :
une présentation PowerPoint
une présentation Prezi
une page web : une page Mindomo
une vidéo Youtube
Pour modifier l’ordre d’apparition des fichiers, il suffit de les faire glisser avec votre souris.
Vous pouvez aussi démarrer par n’importe quel média en cliquant dessus : imaginons que vous n’avez que 15 minutes au lieu des 30 prévues initialement. Vous pouvez décider de commencer par la présentation Prezi et de passer ensuite la vidéo et d’oublier les deux autres éléments. Aussi simple que ça !
Un haut degré d’interactivité
Outre les avantages de la flexibilité lors de la présentation, SlideDog vous propose des options interactives extrêmement intéressantes.
Votre smartphone comme commande à distance
vous pouvez utiliser votre smartphone comme commande à distance de votre présentation : pendant ce temps, vous pouvez bouger sur la scène et engager une vraie conversation avec votre public.
Commande Avant et Arrière
Plus besoin de plugin usb ni de commande à ne pas oublier chez vous ou sur un lieu de présentation… Votre smartphone vous suffit pour activer votre présentation. Vous pouvez même y stocker des notes si vous avez peur de ne plus savoir quoi dire au moment où vos slides apparaissent.
La playlist sur votre smartphone
Et vous pouvez également faire apparaître la playlist entière et démarrer de n’importe quel élément de votre liste.
Des options interactives pour dialoguer avec votre public
Enfin, et ce n’est pas le moindre avantage de ce logiciel surprenant, vous pouvez interagir directement avec votre public de plusieurs façons :
1. En partageant votre présentation avec vos spectateurs (synchronisation avec la tablette ou le smartphone)
Les membres de votre public pourront ainsi voir votre présentation sur leur tablette ou leur smartphone plutôt que sur l’écran. Intéressant pour les personnes qui, du fond de la salle, n’ont plus besoin de se démancher le cou ou d’écarquiller les yeux comme des malades pour déchiffrer votre dernier graphique…
La présentation est synchronisée avec le matériel du public
Dès que je lance la présentation, chaque spectateur connecté peut voir l’intégralité de la présentation sur son périphérique personnel.
Pour synchroniser leur appareil, les spectateurs recopient un lien qui est fourni par le présentateur. Les spectateurs peuvent choisir de donner leur identité ou de rester anonymes.
2. En lançant un sondage sur un élément de votre présentation
Par exemple, si vous montrez une liste d’éléments, vous pouvez demander au public de les classer par ordre de priorité; ou, comme je le fais ci-dessous, demander au public si, à son avis, la technique de mindmapping collaboratif que je lui montre lui sera utile.
Sondage SlideDog
Les réponses sont retournées au présentateur sous forme de barres horizontales avec le pourcentage de chaque réponse.
3. En chattant avec votre public
Les spectateurs peuvent poser leur question en direct via leur smartphone ou tablette plutôt que par le micro. Cela vous permet de gagner du temps – plus besoin de micro-baladeur – et même les plus timides oseront enfin s’exprimer !
Question du public
4. En demandant une évaluation immédiate de votre présentation
Enfin, vous pouvez obtenir un feedback immédiat de vos spectateurs en leur demandant d’évaluer votre prestation selon des échelles pré-établies :
Feedback immédiat
Vous pouvez poser vos questions en français, malheureusement, les échelles ne sont disponibles qu’en anglais pour l’instant. Mais les éléments de ces échelles sont faciles à comprendre et ne devraient pas poser trop de problèmes à votre public.
Conclusion : un logiciel de présentation révolutionnaire
SlideDog peut sans doute être appelé un logiciel de présentation révolutionnaire.
D’abord, parce qu’il rassemble en un même espace une foule de médias différents et les assemble dans une présentation sans à-coup ni sans interruption.
Le temps de chargement de tous ces éléments multimédias dans votre présentation peut s’avérer relativement long : surtout, si vous avez mixé des fichiers de type vidéo, Prezi, Powerpoint, etc. Il vaut donc mieux anticiper et procéder au chargement de votre présentation avant de monter sur scène.
Prévoyez aussi une (très) bonne connexion Internet si vous souhaitez profiter des options interactives.
Ces dernières sont vraiment un must en matière de présentation : vous pouvez communiquer de manière interactive avec votre public. Cela ne vous dispense pas d’avoir de réels échanges avec votre public. Au contraire, si vous profitez de ces options, vous disposerez d’une base de discussion avec vos spectateurs. Et vous bénéficierez d’un feedback immédiat, à chaud, qui vous permettra de vous améliorer à l’avenir.
En conclusion, un logiciel en constante évolution qui permet de réelles avancées dans la présentation et la conversation avec votre public.
Il existe deux versions : une gratuite et l’autre payante. La payante coûte une dizaine d’euros par mois ou 99 € par an. Elle vous offre toutes les options d’interactivité plus la possibilité d’afficher sur deux écrans différents (un pour vos notes et l’autre pour vos slides, par exemple). Un investissement qui en vaut la peine si vous intervenez souvent en public et si vous souhaitez disposer d’une formule pleinement interactive.
Présentation Infogram : comment intégrer des graphiques et des infographies dans vos présentations
Souvent, des personnes me demandent pourquoi elles devraient ajouter des infographies ou des graphiques dans leurs présentations. Et si oui, comment le faire de façon adéquate. Voici quelques conseils sur « comment et pourquoi utiliser des infographies dans vos présentations ».
Avertissement: Ce texte est l’adaptation française d’un article en anglais publié sur le site d’Infogram. Infogram est une application en ligne de création de graphiques et d’infographies interactives. Depuis quelques semaines, je suis ambassadeur pour Infogram.
J’ai animé un wébinaire le mercredi 2 août 2015 sur le thème des infographies dans les présentations et cet article a été publié en parallèle. Je voulais que mes lecteurs francophones puissent eux-aussi lire ce texte et voir la présentation qui a été réalisée avec Canva avant d’être partagée sur Slideshare. Bonne lecture 🙂
Des présentations d’entreprise d’un ennui mortel
Vous êtes assis dans la salle de réunion de votre entreprise. Et l’un de vos collègues montre sa présentation. Une énorme collection de slides remplis à ras-bord de données butes ; une interminable série de captures d’écran de feuilles Excel. Après une demi-heure de ce traitement inhumain, votre cerveau a explosé et vous pouvez à peine vous souvenir de votre nom de famille.
Ce scénario vous semble familier ? Oui, un nombre effrayant de présentations d’entreprises ressemblent toujours à ça…
Et donc, comment pouvez-vous améliorer vos présentations et épargner à votre public une expérience aussi pénible ?
Deux canaux distincts pour vos présentations
Avant – il me semble qu’il y a un siècle – il n’y avait pas Internet et la seule façon de montrer vos présentations était la voie orale. Vous vous teniez debout sur la scène et vous commenciez à parler à votre public. Et vous leur montriez une présentation visuelle (presque toujours un PowerPoint).
Aujourd’hui, les présentations les plus populaires sont publiées sur Internet, sur des sites sociaux comme Slideshare ou sur les réseaux sociaux.
Et cela fait une grande différence.
Lorsque vous êtes sur scène, VOUS êtes l’attraction principale : vous êtes l’orateur. Et la présentation est un simple support visuel, sensé renforcer votre message.
Il y a une règle de fer à ce propos :
« Si votre support visuel dit la même chose que vous, l’un de vous deux est de trop et doit être évacué… J’espère que ce n’est pas vous… »
Si votre présentation est distribuée sur le Net, c’est un médium indépendant, il doit être autosuffisant : votre texte et vos images doivent être compris par eux-mêmes.
Ce qui signifie que vous pouvez ajouter un peu d’information à votre présentation.
Ou vous pouvez ajouter une bande sonore à votre PowerPoint (Slideshare vous permet d’ajouter des fichiers MP3 à vos présentations).
Supposons que votre présentation est le support visuel d’une communication orale
J’appartiens à la même école que Dan Roam quand il s’agit de présentations. Et je crois réellement que la meilleure façon de créer une présentation efficace c’est de raconter une histoire. Et de la dire avec des images.
La plupart des présentations ne racontent pas d’histoire. Et parfois, on vous donne l’ordre de créer un simple rapport. C’est le facteur-clé pour créer des présentations ennuyeuses…
Supposons que votre présentation est le support visuel d’une communication orale
Ok, mais comment créer des présentations pas trop ennuyeuses ?
Vous pouvez, dans une certaine mesure, éviter les principaux pièges du rapport ennuyeux (et préserver les neurones de vos auditeurs).
Créez une série de questions. Et si on en croit Dan Roam, six questions suffisent et devraient vous indiquer quel type d’images utiliser.
Les questions à vous poser pour choisir la bonne illustration
Les graphiques et infographies sont pertinents pour trois types de questions
Quand : créez une ligne du temps ou utilisez un graphique avec des lignes qui montrent l’évolution de votre entreprise, des ventes, etc.
Combien : ici, les histogrammes (barres horizontales ou colonnes) sont rois. En particulier, si vous devez effectuer des comparaisons. Nos yeux sont remarquables lorsqu’il s’agit de comparer des longueurs mais très insuffisants pour comparer des surfaces (en particulier des cercles ou des bulles)
Où : utilisez des cartes de géographie, accompagnées de légendes, d’étiquettes et d’autres éléments visuels
Qui et quoi : ce sont les photos et les portraits qui illustrent le mieux ce type de question
Comment : est parfaitement traduit par les diagrammes de flux et les cartes conceptuelles
Pourquoi : créer une « équation », montrez la conjonction des facteurs qui ont déclenché la question
Un exemple : vous racontez l’ évolution de votre département. Commencez par la question pourquoi. Ensuite, continuez avec quand, combien, qui, etc. et illustrez chaque point par de belles photos et des graphiques colorés au lieu de colonnes de chiffres imbuvables…
Essayez d’humaniser vos données
Personne ne tombe amoureux d’un affichage de feuille Excel ou d’une parade de chiffres bruts.
Si vous devez présenter des données brutes, au moins, essayez de les humaniser.
Montrer des graphique peut déjà soulager votre public : le cerveau calcule les signaux visuels 60.000 fois plus vite que les mots (non, ce n’est pas une erreur typographique : vous avez bien lu 60.000 fois !).
Et donc, profitez de cette impressionnante caractéristique du cerveau et utilisez des graphiques et des infographies.
Réduisez l’échelle de vos nombres pour pouvoir se représenter leur importance
Le cerveau humain est vraiment pauvre quand il s’agit de se représenter de grands nombres. Si vous devez parler de données qui comportent des nombres à 7 chiffres, essayez d’ en réduire l’échelle.
Un exemple : chaque année, 8.000.000 de personnes meurent du cancer. C’est un nombre énorme. Mais un nombre abstrait :comment pouvez-vous visualiser mentalement 8.000.000 de personnes ?
La réponse est simple : on ne peut pas !
Réduisez donc ce nombre à l’échelle de la durée de votre présentation :
« Je vais vous parler pendant 20 minutes. Et au cours de ces 20 minutes,305 personnes mourront du cancer«
Ce « 305 » est un nombre à échelle humaine : vous pouvez vous faire une représentation mentale de ce type de nombre. Et vous pouvez vous sentir concerné par cette réalité, simplement parce que vous pouvez vous la représenter mentalement.
Dans le même temps, montrez à votre public un graphique avec les nombres réels. Cela va les aider à mesurer l’échelle réelle de vos faits tout en ressentant de l’empthie pour les 305 personnes dont vous parlez.
Reliez vos données au public de votre présentation
Une autre façon d’humaniser vos données est de relier ces chiffres à votre public. Disons que ce nombre est de 250. Et vous vous adressez à un auditoire d’environ 1.000 personnes. Pendant votre discours, vous pouvez leur dire qu’un quart d’entre eux sont concernés par le type de fait dont vous parle.
Comment ne pas se sentir impliqué par cette façon de procéder ?
Storytelling and data storytelling : une autre façon de présenter
Le Storytelling traite des personnes et de la façon dont elles luttes les unes contre les autres ou contre les choses, les événements.
Ca ne conçerne pas les données…
Lorsque vous créez une présentation, vous devez garder cela à l’esprit. Si vous choisissez d’utiliser les techniques du storytelling, votre présentation doit d’abord parler d’êtres humains et de leurs relations : entre eux ou avec le monde.
Vos données sont là uniquement pour soutenir l’histoire, la succession des événements, la façon dont le héros de votre histoire se débrouille avec ses ennemis.
Si vous utilisez des graphiques ou des infographies, elles doivent se mettre au service de votre histoire et non pas l’inverse.
Il est aussi très important de contextualiser vos données. En tant qu’orateur ou présentateur, vous avez le devoir de préserver l’intégrité de vos données : vous devez les rendre accessibles à votre public, mais ne jamais les simplifier à l’excès. Une sursimplification entraîne souvent une distorsion de vos données.
En parlant de distorsions, méfiez-vous de certains programmes qui vous proposent de fabuleux effets 3D. Un graphique en camembert en 3D peut entraîner une visualisation déformée – et donc faussée – de la réalité derrière les chiffres.
Quel programme utliser pour créer une présentation avec des graphiques ou des infographies ?
Sa fonction de zoom vous permet de souligner ce qui est important dans vos graphiques. Et les effets de translation ou de rotation des images rend le tout très dynamique.
Malheureusement, lorsque vous utilisez Prezi, vous perdez toute l’interactivité des infographies d’Infogram.
Mais il y a une nouvelle génération d’application qui rendent possible la présentation d’infographies tout en conservant leur caractère interactif.
L’une d’entre elle est Bunkr : elle vous permet de présenter en ligne et d’intégrer différents objets, dont les infographies d’Infogram. Comme l’infographie est réellement intégrée dans le slide, elle conserve toutes ses caractéristiques, y compris la faculté d’interaction. (J’en reparlerai bientôt sur ce blog).
SlideDog est une autre option, puisqu’il vous permet de mixer des vues de différentes sources (PowerPoint, fichiers PDF, présentations Prezi, pages Web, etc. Je parlerai aussi bientôt de cette application).
J’espère que cet article aura titillé votre envie d’intégrer quelques graphiques ou infographies dans vos présentation à l’avenir.
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Nous venons de lancer Spoc en Stock : derrière ce nom un peu étrange se profilent des SPOC, des parcours de formation en ligne, interactifs et collaboratifs. Je vous décris ce projet en détail dans l’article qui suit.
Certains d’entre vous l’ont déjà visité : nous l’avons mis en ligne il y a environ deux semaine. Il s’appelle Spoc en Stock et c’est un site web de promotion de formations en ligne.
Un site web pour vous former en ligne
SPOC en Stock : des formations collaboratives et interactives en ligne
Un SPOC, c’est un Small Private Online Course :
un Cours de Taille limitée : quelques dizaines de participants tout au plus ; parfois, avec un prérequis, parfois sans
un Cours en Ligne : c’est donc de la FOAD ou de l’e-learning
un Cours Privé : vous devez donc vous inscrire et verser un droit d’inscription (ou non) pour vous inscrire
Mais pour SPOC en STOCK, un SPOC c’est bien plus que ça.
Voyez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus :
Consultez la page SPOC ? pour en savoir plus sur notre conception d’une formation en ligne.
Spoc en Stock : 4 SPOC en 2015… pour commencer
Pour le démarrage de SPOC en Stock, nous lançons 4 formations collaboratives et interactives. Ces formations sont basées sur un projet (de présentation ou de formation). Elles comprennent :
des tutoriels vidéo
du texte
des éléments multimédias : carte mentales, images, son, liens vers d’autres sites, etc.
des classes virtuelles : une fois par semaine un des formateurs à rendez-vous avec vous pour approfondir un thème, expliquer une difficulté ou un point théorique, etc.
des travaux de groupe
des échanges sur les forums et les réseaux sociaux
du tutorat : les formateurs vous suivent individuellement et répondent à vos questions ou à vos problèmes
une heure de consultation gratuite sur votre projet individuel
SPOC : Créez des présentations captivantes avec le Storytelling
Le Storytelling, c’est l’art de raconter des histoires. Nous vous proposons une formation originale qui rassemble les principes de trois disciplines liées au storytelling. L’objectif de cette formation : vous donner des techniques pour concevoir une présentation efficace, qui entraîne l’adhésion de votre public.
Storytelling visuel pour vos présentations
le storytelling : les principes de la narration, les éléments qui font que votre histoire retienne l’attention et l’adhésion d votre public. Comment utiliser les « appels à l’action » pour mobiliser votre public ?
le storytelling visuel : comment renforcer le pouvoir des mots par l’image ? Comment choisir les images qui parlent à vos interlocuteurs ? Quels sont les principes d’une bonne communication visuelle ?
le storytelling digital : Internet et le numérique vous offrent des outils exceptionnels pour créer vos histoires, les enrichir, les animer. Nous les passerons en revue et vous apprendrez comment utiliser des outils comme Infogram pour illustrer vos présentations
Au terme de cette formation, vous serez capables de concevoir une présentation avec un support visuel digital ou non. Vous disposerez d’un projet de présentation prêt à être traduit sur n’importe quel support.
SPOC : Créez des présentations captivantes avec Prezi
Vous savez déjà comment structurer une présentation ? Vous avez déjà un projet de formation ? Ou pas ?
Mais vous souhaitez passer à autre chose qu’à ce bon vieux Powerpoint qui ne surprend plus personne ?
Notre SPOC vous apportera tous les éléments nécessaires pour réaliser une présentation percutante avec Prezi.
Devenez un expert Prezi
En trois semaines, vous serez un expert en Prezi. Vous pourrez
choisir votre modèle et votre structure
personnaliser votre présentation
y insérer du texte, des images, de la vidéo, des symboles, des flèches, des structures, du son, etc.
intégrer votre présentation dans un site web
co-éditer votre présentation à distance en temps réel
présenter votre Prezi en ligne y compris à des personnes qui n’ont pas de compte
télécharger une copie hors-ligne de votre Prezi ou une version PDF
et beaucoup d’autres choses…
A la fin de la formation, vous disposerez d’une présentation Prezi prête à être montrée au monde entier. Et bien sûr, comme pour chacun de nos spoc, vous bénéficierez d’une heure de consultance gratuite sur votre présentation.
SPOC : Mindmapping collaboratif pour Formateurs et Enseignants
Vous êtes coach, enseignant ou formateur ? Et vous souhaitez intégrer le mindmapping dans votre pratique pédagogique ? Alors, ce SPOC est vraiment pour vous !
Mindmapping collaboratif
En cinq semaines vous aller :
maîtriser les principes du mindmapping
découvrir les spécificités du mindmapping collaboratif
appliquer le mindmapping à votre pratique pédagogique : créer des cours ou des formations,
créer des présentations pour vos étudiants ou vos apprenants
utiliser le mindmapping collaboratif en présentiel
Et enfin, last but not least, notre spoc pour faire de vous un formateur en ligne.
En cinq semaines, apprenez comment traduire en formation en ligne, le meilleur de vos formations en présentiel.
Formez en ligne
Que vous soyez formateur chevronné, candidat-formateur, instituteur ou coach, vous pourrez ajouter une dimension essentielle à votre pratique pédagogique, celle de la distance.
Vous apprendrez donc :
les principes de la formation en ligne (FOAD, elearning)
à définir le public-cible de votre formation
à analyser les besoins de votre public
à déterminer les objectifs de votre formation
à traduire ces objectifs en séquences de formation
à déterminer quels outils et méthodes pédagogiques rencontrent le mieux vos objectifs pour chaque séquence
comment utiliser le multimédia pour mieux engager vos apprenants
Tous les trois nous avons une longue et riche expérience de formateur, que ce soit en présentiel, en hybride ou en ligne. Et tous les trois nous aimons les formations actives, participatives. Celles qui engagent les participants, qui leur font vivre de nouvelles expériences. Le tout dans le plaisir et la bonne humeur. Bernard a d’ailleurs écrit un livre magistral sur le sujet.
C’est ce type d’expérience, vécues dans nos formations en présentiel, que nous avons voulu transposer dans nos formations en ligne.
Nos SPOC sont issus de notre expérience des MOOC
Mais ce n’est pas la première expérience que nous menons dans ce domaine. Depuis des années, nous travaillons en ligne également. Et puis, les MOOC sont arrivés.
Nous avons participé à de nombreux MOOC en tant qu’apprenants, mais aussi en tant que formateurs.
Ce sont ces diverses expériences qui nous ont décidés à lancer SPOC en Stock.
Le nom du site ? C’est un clin d’œil au 19e épisode des aventures de Tintin 🙂
Des projets à la pelle pour Spoc en Stock
Ces quatre premiers SPOC sont un début, vous l’avez compris.
Nous ne nous arrêterons pas en si bon chemin.
Dans les prochains jours et les prochaines semaines, nous vous informerons d’autres projets qui nous tiennent à cœur et que nous porterons ou que nous soutiendrons.
Restez vigilants 🙂
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Le storytelling digital fait la une de nombreux médias. C’est un moyen puissant de mobiliser les foules. Mais avec quels outils peut-on créer un storytelling digital digne de ce nom ? Je vous en livre quelques-uns sous forme de mindmap cliquable.
Je ne suis pas le dernier à vous parler du storytelling. J’y ai fait plus qu’allusion dans des articles sur Prezi, notamment. Mais ces techniques narratives, si utiles pour concevoir des présentations efficaces, se révèlent aussi très puissantes dans le monde numérique : médias sociaux, blogs, sites web, marketing, etc. On parle alors de « storytelling digital».
Le storytelling digital
Les ressources du Net au secours du storytelling digital
Le storytelling digital fait appel à toutes les ressources du web : design, photos, images, vidéo, audio, techniques d’écriture propres au web, infographies, etc.
J’ai rassemblé ici 50 outils dont je me sers personnellement et qui vous permettront, à vous aussi, de déployer toute la richesse du storytelling. Vous n’avez peut-être pas besoin de tous ces outils. Choisissez ceux qui « vous parlent » et qui vous paraîssent correspondre à vos besoins.
Pour la plupart, ils sont intuitifs et proposent au minimum une version gratuite ou une version d’essai.
La carte mentale ci-dessous ne reprend que les grandes catégories. Cliquez sur l’image pour accéder à une carte Mindomo entièrement cliquable. Vous pouvez également cliquer sur les petites icônes en forme de documents pour lire la description de chaque outil. Il vous suffit de cliquer sur l’icone hyperlien pour accéder à l’outil en ligne.
Outils de storytelling digital
Soignez vos photos et images
Les photos – comme tous les visuels – sont un élément essentiel de votre storytelling digital, que ce soit en présentation, en imprimerie ou sur votre site web. Choisissez des photos de qualité. Si vous ne les créez pas vous-même, au moins sélectionnez des photos de créateurs. Mais attention aux droits d’auteurs…
Images libres de droits – haute résolution et qualité artistique
Les sites que je liste ci-dessous proposent des photos de très grande qualité ; généralement, ces ressources sont accessibles sous licence Creative Commons – vérifier s’il y a besoin de citer l’auteur ou non. Certaines licences peuvent aussi différer dans l’usage : commercial ou non, reproduction ou modification, etc.
Des photos de très grande qualité, gratuite et pour tous usages, même commerciaux, sans devoir mentionner l’auteur. Les images ne sont pas encore très nombreuses, mais elles sont très prometteuses.
Comme son nom l’indique, les photos de ce site sont classées par album : chiens, chats, bibliothèques, architecture, education, etc. Attention, les licences divergent selon les auteurs. Soyez vigilant-e !
Attention aux temps de chargement de votre site web ! Les images trop lourdes ralentissent le chargement de votre page. Et l’internaute d’aujourd’hui n’a plus le temps d’attendre. Si trop de visiteurs quittent votre site avant même le chargement de la page qu’ils désiraient voir, cela augmente votre taux de rebond. Et à terme, cela vous pénalise sur les moteurs de recherche. Facilitez la vie de vos visiteurs en optimisant les photos avant de les publier sur votre site.
Une application en ligne d’optimisation d’images pour le Net : en confiant vos images à Kraken vous êtes certain-e de ne pas ralentir chargement de la page de votre site tout en conservant un maximum de netteté.
Mockups : contextualisez votre marque et vos produits
Les mockups vous permettent de mettre vos photos personnelles en contexte : insertion dans un paysage, un groupe, un appareil – votre vidéo défile sur l’écran d’un iPad, par exemple. Très efficace pour suggérer l’utilisation d’un de vos produits ou services.
PlaceIt est une application en ligne qui offre de nombreux « mockups » : smartphones, ordinateurs, tablettes… Insérez vos images ou vos vidéos, y compris captures d’écran ou vidéo Youtube, sur un smartphone ou un iPad. Plus vrai que nature !
Voici un exemple tout simple : le logo de mon entreprise sur un smartphone :
Mockup formation 3.0
Utilisez les couleurs à bon escient
Les couleurs ont une importance cruciale en communication. Si vous ne connaissez pas la psychologie des couleurs, ni comment les marier harmonieusement dans une infographie ou un site web, voici des outils indispensables.
Comment choisir judicieusement les mariages de couleurs pour vos visuels ? Voici la roue des couleurs d’Adobe. Elle vous permet en quelques clics de trouver les couleurs complémentaires, opposées, les nuances de tons agréables à l’oeil, etc. Un outil indispensable pour rendre vos visuels incomparables.
Polices de caractères : la typographie est importante
La typographie n’est pas un élément accessoire ou secondaire de votre communication. Elle est la chair de vos mots, leur habillage physique.
Combien de polices de caractères puis-je utiliser dans un article de blog ou pour une infographie ? Comment combiner un titre et un corps de texte ? Quelles sont les différentes familles de polices ? Et à quoi peuvent-elles servir ? Suivez les dix commandements de la typographie de Visual.ly et ne commettez pas d’impairs.
Design : créez des visuels et des infographies
Ces applications de design vous permettent de créer infographies, éléments visuels pour vos blogs et médias sociaux, etc. Elles proposent toute une version gratuite ou d’essai. Elles offrent aussi des conseils ou des tutoriels de qualité pour améliorer votre pratique.
Un des derniers venus dans le monde du visuel. Et l’un des plus gros succès aussi. Canva est gratuit et propose de nombreux modèles, des images, des polices de caractères, etc. C’est une application très intuitive et qui ne demande pas de formation ou de connaissances préalables. La « Design School » vous propose aussi des tutoriels interactifs et des exercices.
Infogram, dont j’ai déjà parlé sur ce blog, est un outil très pratique pour créer non seulement des diagrammes de qualité professionnelle, mais aussi des infographies interactives en ligne. J’ai déjà décrit infogr.am en détail sur ce blog.
Visually– Une communauté de créateurs à votre service
Visual.ly met en contact créateurs et marques ou entreprises. Une communauté vibrante qui vous délivrera le produit design dont vous avez besoin.
Easel.ly est peut-être le moyen le plus facile et gratuit de créer une infographie en ligne. Un programme intuitif s’il en est et que j’ai décrit dans cet article : Créez des infographies de qualité pro avec easel.ly !
Piktochart est une des meilleures applications pour créer des visuels en ligne : infographies, rapports, dias pour présentations PowerPoint ou Haiku Deck. Malheureusement, la version gratuite est très (trop) limitée.
Vidéos : utilisez tous les ressources de l’image et du scénario
La vidéo est un outil puissant pour raconter une histoire : elle combine la puissance de la narration au pouvoir émotionnel de l’image. Choisissez des thèmes et des personnages auxquels les personnes de votre public peuvent facilement s’identifier. Certains réseaux sociaux sont de meilleurs vecteurs de distribution que d’autres : – les addicts de Facebook ou de Twitter réagissent presque frénétiquement aux vidéos ; – vos abonnés Linkedin sont, pour la plupart, des professionnels pressés. Une bonne image fixe les séduira davantage qu’un clip vidéo.
Créez des animations de qualité professionnelle
Ces outils vous permettent de créer des animations de qualité professionnelle. Vous ne devrez pas entrer une ligne de code. Attention cependant de ne pas vous répandre : une vidéo courte est plus efficace qu’un clip interminable. Ces outils proposent une tarification spéciales pour les écoles. Pensez-y si vous êtes enseignant-e.
Explee est le produit d’une startup française. Il propose aussi une bibliothèque d’images, de musiques, etc. Très intuitif. Très facile à intégrer dans un site web ou une page de LMS (plateforme d’e-learning). J’ai intégré la vidéo suivante dans une page de Moodle pour accueillir les participants d’une formation hybride.
Editez vos vidéos pour en tirer le meilleur
Vos vidéos sont rarement publiables immédiatement. Il faut les éditer pour en couper les parties ratées ou trop longues, pour y ajouter des effets, etc. Voici quelques outils d’édition en ligne faciles.
Youtube propose un outil d’édition de vos vidéos qui vous permet d’ajouter des photos, de la vidéo (eh oui !), de la musique, des transitions, etc. au sein de la vidéo que vous avez téléchargée.
WeVideo est une application en ligne qui vous permet d’éditer vos vidéos comme un professionnel : intégration d’images, de présentations, de son, etc. La version gratuite offre déjà de nombreuses possibilités. WeVideo convient tant pour le storytelling d’entreprise que comme solution de créations de supports pédagogiques.
Amara est sans doute le meilleur outil de sous-titrage de vidéos. Ce sont eux qui fournissent notamment les sous-titrages des vidéos de TED.com. Amara est une association sans but lucratifet j’ai le plaisir de travailler avec eux depuis plusieurs années.
Toujours en phase beta, Storygami permet aux utilisateurs de Vimeo et Youtube d’enrichir leurs vidéos de contenus interactifs : médias sociaux, commentaires, notes, images, sons, etc. Une application à suivre.
Partagez vos vidéos sur le Net
Partagez vos vidéos sur des chaînes ou à travers les médias sociaux spécialisés.
Youtube est non seulement le numéro un de la vidéo sur le Net, c’est aussi le second moteur de recherche après Google en nombre de requêtes… Avoir votre propre chaîne et y publier des vidéos originales est un moyen très sûr d’établir votre notoriété d’expert…
Périscope, depuis son acquisition par Twitter, fait une concurrence impitoyable à son confrère Meerkat. Du streaming vidéo en live qui inquiète les chaînes de télévision européennes…
Ne négligez pas les fichiers audio et les podcasts !
Même si la vidéo est reine, l’audio reste un médium important. Il procure l’avantage, sur la vidéo, d’être écoutable partout, y compris lorsque vous êtes au volant de votre voiture.
Facilitez la transcription de vos interviews
Pas évident de retranscrire une interview audio avec un traitement de texte. Avec ces outils, oubliez le stress et commencez à transcrire.
Une application de transcription de fichiers audio. Téléchargez votre fichier et vous écoutez la bande en même temps que vous tapez. C’est enfantin et c’est pour ça que ça marche.
Logiciel libre, Audacity n’en est pas moins un programme très complet, de qualité professionnelle. Une foule de fonctionnalités à découvrir si vous aimez le son.
Soundcloud est la plateforme de partage des podcasts. Qu’il s’agisse de musique, d’interviews ou de récits, la communauté Soundcloud est très riche et très intéressée.
Ecriture : utilisez la puissance de la narration
Le storytelling, c’est aussi de la narration. Voici quelques outils pour vous aider dans la conception et le partage des éléments écrits de votre storytelling.
Wattpad est une plateforme de partage d’histoires. Un bon endroit pour tester l’efficacité de vos récits et recueillir les impressions de vos lecteurs potentiels.
Que vous soyez écrivain, scénariste de BD ou rédacteur technique, voici un studio d’écriture bourré de ressources. Le tout pour un prix dérisoire et animé par une communauté dynamique. Un must !
Une autre application pour publier ses histoires : mais Storybird, c’est aussi une communauté d’artistes qui fournissent des illustrations pour vos histoires. Vous pouvez partir de ces images comme source d’inspiration de vos propres histoires.
Utilisez le storytelling pour booster vos présentations
Pour toutes les entreprises, associations et institutions d’aujourd’hui, les occasions de prise de parole sont nombreuses. Pour donner de l’impact à vos interventions, voici une panoplie de supports visuels.
Concevez et créez vos présentations
Pour créer vos présentations, voici quelques applications-phares.
Une application élégante de présentation. Une version intégrée à Slideshare existe qui permet d’intégrer vos présentation avec Linkedin en quelques clics.
Programme de présentation non-séquentiel, Prezi est surtout connu pour ses facultés de zoom et de rotations. C’est une application visuelle très complète qui mérite mieux que ça. J’en ai parlé à plusieurs reprises sur ce blog.
Partagez vos présentations sur le Net
Créer des présentations, soit, mais si personne ne les voit ? Voici un média social de partage de présentations que vous ne pouvez plus ignorer !
Slideshare est l’endroit où il faut être si vous créez des présentations. C’est un média social spécialisé dans le partage des présentations et il peut draîner un trafic non-négligeable vers votre site s’il est bien utilisé. Depuis qu’il intègre une version gratuite de Haiku Deck, la suprématie de Powerpoint y semble bien compromise. Vous pouvez également distribuer des documents de type PDF via Slideshare, mais le format ne s’y prête pas toujours très bien.
Faites voyager votre public avec le Story Mapping
La carte de géographie comme support du storytelling
Les cartes de géographie, modernes ou antiques portulans, nous font tous rêver. Utilisez le pouvoir d’évocation du voyage et de la carte pour faire rêver votre public ou pour l’informer.
Un logiciel qui vous permet de partir d’une carte, d’y définir des points et de développer un scénario à partir de ces points. Encore en version beta, mais prometteur.
Un outil étonnant pour créer des cartes associés à des lignes du temps. Un très bon support pédagogique, mais aussi un moyen original de raconter l’histoire de votre entreprise.
Comme son nom l’indique, Tour Builder utilise les fonctions de géolocalisation de Google Earth pour y implémenter des informations : photos, textes, vidéos, etc.
Géonef vous permet de construire des itinéraires pédagogiques ou touristiques à partir d’une carte de géographie. Insérez-y ensuite texte, dessin, photos, vidéos, liens externes, etc.
Umap est un projet open source d’Openstreet Map. Il offre de la géolocalisation : insérez des emplacements précis dans une carte et enrichissez-les de liens externes qui renvoient vers des billets de blog, etc.
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Managez avec le concept mapping ! le dernier livre de Pierre Mongin et auquel tout manager devrait accorder une place de choix dans sa bibliothèque professionnelle.
C’est toujours une grande joie de tenir entre ses mains un livre intelligent : c’est le cas avec le dernier-né de Pierre Mongin : Managez avec le concept mapping.
Je ne peux que réitérer avec celui-ci : c’est un excellent guide pour qui s’intéresse aux cartes conceptuelles et à leur utilisation tant dans la vie de tous les jours qu’en entreprise ou à l’école.
Un livre essentiel sur les cartes conceptuelles
Pierre Mongin n’est pas un inconnu dans le monde de la pensée visuelle. Pionnier des cartes mentales en France, auteur et co-auteur de nombreux ouvrages, il était également un des intervenants du colloque Apprendre tout au long de la vie avec le Mind Mapping que j’ai co-organisé avec Fabienne De Broeck d’Optimind.
Pour rappel, le concept mapping ou carte conceptuelle, se distingue par plusieurs points du mindmapping ou carte mentale ou encore carte heuristique. Alors que la carte mentale ou mindmap part toujours d’une idée centrale, la concept map ou carte conceptuelle part de n’importe quel point de la page. L’idée ici est d’illustrer toutes les relations entre différents concepts.
Les cartes conceptuelles forment une partie importante de la pensée visuelle. Elles sont idéales pour retracer les différentes étapes d’un parcours ou d’un processus. Ou encore pour illustrer les différentes composantes d’un tout. Voici un exemple réalisé avec l’outil gratuit CmapTools que Pierre Mongin présente abondamment dans son livre.
Carte conceptuelle CmapTools
Un livre structuré en deux grandes parties sur les cartes conceptuelles
Le livre de Pierre Mongin s’articule en deux grandes parties et neuf chapitres.
1. Les cartes conceptuelles pour les débutants
Les quatre premiers chapitres du livre s’adressent aux débutants, à ceux qui n’ont jamais entendu parler de concept mapping et qui souhaitent découvrir cette discipline
Chapitre 1 : pourquoi les cartes conceptuelles
L’auteur y donne une définition, les besoins couverts, les origines de la carte conceptuelle et ce qui la différencie de la mindmap ou carte mentale ou encore carte heuristique.
Chapitre 2 : comment créer une carte conceptuelle ?
Pierre Mongin nous invite à découvrir comment créer une concept map d’abord à la main, ensuite avec l’ordinateur.
Chapitre 3 : Les 4 C : Capturer – Classer – Configurer – Communiquer
Nous apprenons comment construire une carte conceptuelle en respectant les 4 étapes :
Capturer, c’est-à-dire, collecter les données qui nous proviennent de sources différentes : emails, conversations, lectures, réunions, veille, etc.
Classer ces informations selon un ordre chronologique, alphabétique, par hiérarchie de catégories, etc.
Configurer la carte : choisir un arrière-plan, des couleurs, des formes, des polices de caractères pour les nœuds des cartes.
Communiquer : utiliser le module de présentation en diapositives, rédiger un compte-rendu linéaire ou la documentation d’un projet, etc.
Chapitre 4 : communiquer
Dans ce chapitre, Pierre Mongin nous explique comment utiliser le concepteur de diapositives de CMapTools et comment prendre des vues (snapshots) des diapositives.
2. Approfondissement et perfectionnement des cartes conceptuelles
Chapitre 5 : Collaborer
L’auteur y aborde les thèmes du brainstorming et du brainwriting : façons de stimuler son cerveau pour créer de nouveaux concepts. Il y expose aussi le fait que les cartes conceptuelles sont des « objets-frontières« , partagés entre « une unité et un terrain d’échanges flexibles entre des groupes différents » (p. 97). Il explique enfin comment animer une réunion.
Chapitre 6 : du monde mental au monde visuel
« Comprendre, c’est percevoir des modèles. La visualisation traduit la complexité du travail en un modèle que chacun peut assimiler« .
La puissance de la pensée visuelle – et donc, des cartes conceptuelles – c’est de visualiser les relations entre concepts qui ne sont qu’implicites dans un texte rédigé de manière linéaire.
De ce fait, les représentations graphiques « engagent » davantage les acteurs. Pierre Mongin nous propose une série de modèles tels que le business model, la carte à bulles, la carte de flux, etc.
Chapitre 7 : des entreprises visuelles, numériques et collaboratives
Vous pouvez cartographier votre entreprise en utilisant des modèles comme la matrice de Porter, afin de visualiser les flux d’information. Mais aussi, cartographier un process de qualité ou les connaissances de vos collaborateurs.
Chapitre 8 : Quatre exemples concrets de politique publique
L’auteur nous présente quatre cas concrets d’utilisation de la carte conceptuelle dans le cadre de politiques publiques. Il commence par la réorganisation d’une mairie parisienne ; il illustre l’exemple dun diagnostic de territoire, aborde la résolution de conflits et termine par l’analyse de l’éco-système des Comores.
Chapitre 9 : enseigner et apprendre avec les cartes conceptuelles
L’ouvrage se termine par un chapitre très important sur l’enseignement et l’apprentissage. Pierre Mongin y repasse en revue – de manière visuelle, bien sûr – quelques concepts-clés de l’éducation : le connectivisme, les niveaux d’acquisition de la connaissance, etc.
Mais surtout, il offre des exemples pratiques et des modèles de cartes concptuelles pour enseigner ou étudier.
Conclusion
Pour conclure cet article, je pense que cet ouvrage fera date : c’est non seulement un excellent livre d’introduction aux cartes conceptuelles, mais aussi un guide pratique pour tous ceux qui s’intéressent à la pensée visuelle. Une fois de plus – c’est récurrent chez Pierre Mongin – le livre tient plus que ce que le titre promet : car il s’adresse non pas seulement aux managers, mais à tous les utilisateurs potentiels de cartes concptuelles, c’est-à-dire nous tous.
Un livre à mettre entre toutes les mains. D’urgence !
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Avant de vous lancer dans une présentation Prezi : posez-vous ces quelques questions selon des principes simples de communication. Vous gagnerez en efficacité et vous emporterez l’adhésion de votre public !
Comment structurer une communication Prezi ? Comment être sûr(e) de trouver la bonne formule pour persuader votre public d’adhérer à votre cause ? Comment délivrer le bon message pour être entendu(e) ?
Dans un article précédent, je vous décrivais les principes du storytelling visuel de Dan Roam, très proches de ma propre conception de la façon de raconter des histoires avec un support de présentation.
Aujourd’hui, je vais vous parler de quelques principes de communication que je propose dans mes formations à propos de Prezi et du storytelling. Vous pouvez y participer à Bruxelles, à Paris, à Genève et à Lille.
Mais ces principes, vous pouvez les utiliser pour n’importe quelle action de communication. Je les ai proposés, par exemple, pour aider les participants de mes formatons à publier des mindmaps efficaces.
Quelques principes simples pour communiquer en toutes circonstances
Ces principes sont extrêmement simples à décrire ; parfois, extrêmement difficiles à mettre en oeuvre. Je les ai résumés dans une présentation Prezi que j’ai enregistrée en vidéo et publiée sur Youtube. Elle fait partie d’une playlist de ma chaîne Youtube intitulée Communiquez avec Prezi.
1. Quel est votre message ? Qu’est-ce que vous voulez dire ?
Quel est le message que vous voulez faire passer auprès de votre public ? Vous devez être capable de résumer ce message en une phrase.
Si vous n’arrivez pas à résumer votre message en une phrase, c’est probablement que vous ne le maîtrisez pas encore. Vous ne savez pas encore ce que vous voulez dire. Il y a encore une certaine confusion dans votre esprit.
Essayez de relire vos notes, de refaire le point dans votre tête, de dessiner une mindmap pour rassembler vos idées.
Et ensuite, essayez d’écrire votre message principal en une phrase :
les formations en ligne coûtent moins cher que vous ne le pensez et la qualité des outils est telle aujourd’hui, que vous y gagnerez même en qualité
la croix mauve est l’association qui convient à vos aspirations spirituelles de jeune urbain
vous ne pourrez plus vous passer de mon produit/service parce que je suis comme vous et que je connais donc bien vos besoins
le cerveau produit de nouveaux neurones tous les jours et ce n’est donc pas grave si vous en perdez quelques-uns au passage
etc.
Pouvoir écrire votre message en une seule phrase vous permet de bien orienter toute votre présentation vers son but ultime : un appel à l’action.
En effet, vous prenez la parole en public pour un objectif bien précis.
2. Définissez votre objectif et votre appel à l’action
La question de l’objectif est primordiale : qu’est-ce que je veux tirer de cette présentation ? Pour beaucoup d’entre nous, la prise de parole en public ne vas pas de soi. Pour certains, c’est même une épreuve, voire une phobie.
Vous ne prenez sans doute pas la parole en public sans raison.
Définissez votre objectif soigneusement car c’est lui qui va donner le « ton » de votre présentation. Que voulez-vous faire :
informer ?
vendre ?
former ?
convaincre ?
mobiliser ?
En lisant ces différents verbes d’action, vous déduisez instinctivement que le ton employé ne sera pas le même dans tous les cas : on ne vend pas un service de la même manière qu’on forme un groupe de personnes à l’utilisation d’un logiciel de communication…
Du point de vue du storytelling, vous choisirez une histoire différente en fonction de cet objectif.
3. Qui est votre public-cible ?
Et enfin, troisième question fondamentale : qui est mon public-cible ?
C’est souvent le cas aussi des conférenciers : vous ne savez pas qui sont les personnes qui composent votre public. Dans ce cas, vous utiliserez une langue simple, des mots concrets, du langage de tous les jours. Le storytelling vous y aidera : raconter une histoire vous incite souvent à privilégier les mots concrets et les descriptions plaisantes plutôt que les chiffres et les faits bruts qui souvent lassent votre audience au bout de quelques minutes…
Si vous savez que votre public est composé de spécialistes comme vous, vous pourrez vous faire plaisir. Mais attention, dans tous les cas, évitez le jargon pédant et prétentieux : ça peut faire impression sur les imbéciles, mais ça agace les personnes à même de comprendre la vacuité d’une telle attitude…
4. L’important, en communication, ce n’est pas ce que vous dites…
LE principe le plus important de tous :
« En communication, l’important, ce n’est pas ce que vous dites. L’important, en communication, c’est ce que l’autre comprend. »
Tenez les mains loin du volant
C’est la chose au monde la plus difficile à faire : se mettre dans la peau de l’autre. Il y a des outils qui peuvent vous y aider. Personnellement, j’aime bien utiliser la carte d’empathie (j’en reparlerai dans un autre article).
L’image ci-contre est très parlante : si vous avez bu, tenez les mains loin du volant.
Le monsieur, sans doute émêché, fait ce qu’il a compris : il tient les mains loin du volant.
Ce n’est sans doute pas ce que voulait dire le rédacteur du paneau. Mais c’est ce que le conducteur a compris.
Souvent, nous tenons pour acquis que les mots n’ont qu’une seule signification et que celle-ci est claire pour tout le monde. Mais c’est rarement le cas. Lors de formations, j’ai pu me rendre compte à quel point, au sein d’équipes dont les membres travaillaient ensemble depuis de longues années, les mêmes mots renvoyaient à des réalité différentes.
Assurez-vous que tout le monde peut comprendre ce que vous dites : faites le test sur une personne qui ne connaît rien au domaine dont vous parlez. Si elle ne comprend pas quelque chose, interrogez-vous :
y a-t-il un autre mot plus simple, plus concret pour parler de cela ?
y a-t-il une formulation plus adéquate ?
une anecdote ou un exemple aiderait-il à comprendre ce que je veux dire ?
5. Restez simple !
Encore un conseil plus facile à donner qu’à mettre en oeuvre !
Nous sommes parfois tentés par les usines à gaz. Nous aimons la langue française et ses subtilités et nous croyons qu’il en va de même pour tous. Ou nous nous perdons dans des détails qui n’intéressent que nous.
Songez aux manuels d’instructions des appareils ménagers ou des ordinateurs. Ceux-ci sont souvent rédigés par des techniciens amoureux de leur métier et férus d’ohms, d’ampères, de données techniques certainement précieuses pour les réparateurs. Mais le client, lui, aimerait juste savoir comment régler l’image sur le téléviseur à écran plat qu’il vient d’acquérir : il ne prépare pas une thèse de doctorat sur l’affichage des écrans plasma…
Et donc, quelques explications simples, assorties d’illustrations claires, lui auraient sans doute rendu un meilleur service que ce déballage de données techniques auxquelles il ne comprend absolument rien…
6. Choisissez soigneusement votre support
Tous les supports ne conviennent pas pour toutes les présentations. J’utilise abondamment Prezi, mais aussi Mindomo lors de l’introduction d’un atelier de mindmapping, par exemple. Mais il m’arrive aussi de dessiner une mindmap au tableau avec le public. J’utilise aussi la technique du brainstorming au cours de laquelle je demande aux participants de venir coller leur idée sur un post it.
Un duo de dirigeants d’entreprise que je coachais a un jour abandonné l’idée d’une présentation Prezi pour un grand rassemblement de membres de leur réseau professionnel. Il ont finalement opté pour un sketch avec une valise : ils sortaient un objet de cette mystérieuse valise à chaque fois qu’ils évoquaient une nouvelle étape de leur parcours d’entrepreneurs… Je vous laisse imaginer le sentiment d’attente curieuse que ce dispositif a créé chez leurs spectateurs… Et combien ils se sont distingués de leurs collègues qui ont noyés ces mêmes spectateurs sous des flots de chiffres sur d’interminables dispositives Powerpoint…
6. Ayez une conversation conviviale avec votre public
Le bonus : votre présentation ne doit pas constituer un soliloque, un numéro de « one woman » ou « one man show » devant votre public.
Faites-le participer. Ayez une conversation avec vos spectateurs. Faites-les réagir. Posez-leur des questions. Répondez à leurs questions. Faites-les rire : l’humour est une arme de convivialité massive,tous les bons formateurs vous le diront !
Au besoin, modifiez le plan de votre présentation, mettez-vous en danger : improvisez !
Faites-le uniquement si vous vous sentez à l’aise : mais vous surprendrez votre public (et vous vous surprendrez vous-même en étant mille fois plus naturel et créatif qu’en récitant vos notes…).
Conclusion : seule une préparation solide vous donnera l’air naturel
Ce n’est pas une contradiction avec ce que je disais dans les paragraphes précédents : vous ne pourrez improviser dans votre présentation que si vous maîtrisez parfaitement votre sujet.
Soyez prêt(e). Connaissez votre matière. Maîtrisez tous les aspects possibles de votre présentation.
Tenez-vous prêt à l’impréparable : même avec beaucoup d’imagination, vous ne pouvez pas anticiper toutes les questions et remarques de votre public. Dans chacune de mes formations ou de mes conférences, j’ai été confrontés à des questions ou des remarques originales. Parfois, je ne pouvais pas répondre immédiatement. Dans ce cas, le mieux est de l’admettre :
« Je ne peux répondre à votre question immédiatement, mais elle m’intéresse. Laissez-moi vos coordonnées à la fin de la séance et je vous rappellerai avec plaisir lorsque j’aurai la réponse. ».
Ensuite, tenez votre promesse. Il n’y a rien qui puisse blesser autant votre public qu’une promesse non-tenue… Mais il vous sera reconnaissant de reconnaître que vous n’êtes pas omniscient.
Par contre, ne vous produisez jamais sans avoir bien préparé votre intervention. Ne travaillez pas comme un « amateur » dans le mauvais sens du terme. Soyez professionnel jusqu’au bout des ongles. Ne prenez pas votre inexpérience comme excuse. Même si votre conférence est gratuite, votre public s’est déplacé pour entendre un expert. Pas pour écouter les excuses maladroites d’un débutant qui en sait moins que lui…
Si vous êtes aimable, sincère, que vous connaissez « votre truc », il y a de fortes chances que votre présentation se passe bien. En général, le public vous attend avec une bienveillante impatience. Il n’est pas un ennemi prêt à se ruer sur vous, mais un ami qui attend que vous lui appreniez quelque chose de neuf. Vous pouvez même vous permettre de le bousculer quelque peu dans ses convictions.
Mais à condition de le faire avec respect et professionnalisme.
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Carte conceptuelle sur les approches profondes et de surface
Au milieu des années 1970, quelques chercheurs ont élaboré la théorie de l’apprentissage profond. Ils soulignaient l’importance pour les étudiants d’exercer leur pensée critique, de créer du lien entre les concepts et de relier les nouvelles notions aux connaissances dont ils disposaient. Un ensemble de démarches qui correspond bien à ce qui se passe lorsqu’on utilise les cartes mentales, conceptuelles ou argumentaires.
Cela fait maintenant quelques années (doux euphémisme !) que je travaille comme formateur et enseignant. J’ai pu m’adresser à des publics aussi divers que des adolescents en difficulté – en anglais ou plus généralement en méthodes de travail – qu’à des demandeurs d’emploi en recherche de nouvelles opportunité ou des ingénieurs d’une entreprise pétrochimique multinationale, pour ne citer que quelques cas.
Quelques années aussi que je recherche inlassablement outils et méthodes pédagogiques pour leur offrir le meilleur et surtout pour les aider à réaliser leur potentiel.
Cliquez sur la mindmapMindomo pour ouvrir la carte mentale interactive dans une autre fenêtre :
Pour comprendre les différences entre les deux approches, je les ai synthétisées sous la forme d’une carte conceptuelle que voici.
Cliquez sur la carte conceptuelle pour ouvrir la présentation en ligne :
Carte conceptuelle sur les approches profondes et de surface
Autrement dit, les étudiants qui utilisent l’approche profonde sont nettement plus actifs que ceux qui approchent le cours en surface :
ils créent du lien entre les idées
ils anticipent les conclusions
ils repèrent les structures et les principes organisateurs d’un cours
ils intègrent les nouvelles notions aux connaissances déjà acquises
ils ne se contentent pas de reproduire des parties du cours en vue de l’examen, mais interagissent activement avec les idées et les connaissances contenues dans le cours pour bâtir leur propre système de connaissance
En un mot, ils élaborent leur savoir personnel.
L’apprentissage profond : un choix stratégique
Cela veut-il dire que les étudiants sont « condamnés » à un style d’étude ? On est soit « apprentissage profond« , soit « apprentissage de surface » comme on est blond ou brun de naissance ?
Absolument pas !
a) Un choix stratégique selon les circonstances
Les auteurs insistent sur le fait qu’il s’agit d’un choix de stratégie et que les mêmes étudiants utilisent d’ailleurs l’une ou l’autre approche selon l’intérêt qu’ils éprouvent pour la matière…
Et, sans doute aussi, selon le poids de cette matière dans leur cursus.
Autrement dit, vous pouvez choisir dès maintenant d’être un étudiant en « apprentissage profond« .
b) Des approches différentes de la mémorisation
Marton et Säljö distinguent aussi d’autres utilisation de la mémoire dans les approches profondes et de surface.
Alors que les étudiants qui ont choisi l’approche de surface considèrent la mémorisation comme une fin en soi, ceux qui ont opté pour l’approche profonde utilisent la mémorisation des éléments-clés comme moyen de mieux comprendre la matière et de mieux l’intégrer dans leur propre système de connaissances.
Ils extraient du sens de ce processus de mémorisation : ils relient les éléments mémorisés à des choses qu’ils connaissent déjà ou qui peuvent illustrer les structures, les processus, les éléments déterminant d’une matière.
Les étudiants qui choisissent l’approche de surface fonctionnent comme des scanners : ils essaient de mémoriser le plus grand nombre de faits possibles. Tandis que les étudiants qui privilégient l’approche profonde fonctionne comme des ordinateurs en réseau : ils agrègent des éléments-clés de la connaissance au réseau pré-existant.
c) L’approche « reproduction de contenu » versus l’approche « construction du savoir«
Mais la différence fondamentale entre les deux approches se situe dans l’intention des étudiants.
L’approche « profonde » a pour objectif la « construction du savoir » : une élaboration personnelle du savoir. Une approche à long terme qui permet d’obtenir les meilleures notes. Et qui correpond aussi aux exigences des entreprises où l’on demande de plus en plus d’initiative personnelle, de pouvoir s’autoformer, d’intégrer de nouvelles connaissances et compétences en un temps record.
L’approche « de surface » privilégie la reproduction du contenu d’une matière : il n’y a pas d’interaction à proprement parler avec les éléments de connaissance, mais simple tentative de mémoriser le maximum de contenu.
Les étudiants peuvent d’ailleurs passer relativement vite de l’approche profonde à une approche de surface si la matière s’avère trop difficile ou s’ils ont une méthode de travail peu adaptée aux exigences académiques.
Il n’y a donc pas de fatalité mais choix conscient ou subconscient de stratégies en fonction des situations, parfois par les mêmes étudiants sur les mêmes matières.
L’apprentissage profond : origine
Pas de « types d’étudiants« , mais un système complexe de choix stratégiques
On ne peut donc pas parler de « deux types d’étudiants », mais d’un système complexes de choix stratégiques en réponse à un environnement.
Mais alors, pourquoi un « plaidoyer pour l’apprentissage profond » ? Parce que j’ai la conviction profonde – elle aussi – qu’il répond non seulement aux exigences académiques, mais surtout qu’il confère aux étudiants la panoplie de compétences dont ils auront de plus en plus besoin dans un monde où les professions les plus courues dans 10 ans n’existent pas aujourd’hui.
Il y a 5 ans, personne ne parlait de « community managers » : c’est aujourd’hui une des professions les plus demandées. C’est aussi l’une de celles qui s’apprennent majoritairement sur le tas, en « méthode expérientielle » : learning by doing, apprendre tout en faisant.
C’est l’une des modalités les plus intéressantes de l’apprentissage profond…
Pour beaucoup de gens que je croise, Mindomo est encore un « petit logiciel gratuit de mindmapping en ligne« . Rien n’est plus faux ! En quelques années, Mindomo s’est transformé d’application exclusivement en ligne en un véritable logiciel de mindmapping collaboratif et multiplateforme. Voici quelques éléments qui devraient vous en convaincre !
Lors d’un atelier de mindmapping pour entrepreneurs que j’animais récemment, une participante me parlait d’un « petit logiciel gratuit » qu’elle avait vaguement essayé, il y a quelques années : Mindomo.
Ce n’est pas la première fois que j’entends ça. Et cela ne devrait pas m’étonner : Mindomo est l’un des tout premiers logiciels de mindmapping que j’avais essayés, il y a de cela de nombreuses années… Et finalement, mon choix s’était porté sur iMindmap et sur XMind. J’ai longtemps gardé en tête cette image de cartes un peu rudimentaires en ligne.
Jusqu’à très récemment : lorsque j’ai entrepris d’explorer les logiciels de mindmapping collaboratif en ligne. Pour rédiger une série d’articles sur le sujet – à propos de Mindmeister, de Mind42, de WiseMapping et de Mindmaple – j’ai dû me replonger dans tous ces logiciels. Et me rendre à l’évidence : Mindomo a bien changé !
Aujourd’hui, Mindomo est l’une des solutions les plus intéressantes du marché :
le logiciel propose une multitude de structures différentes en plus du mindmapping : organigrammes hauts et bas, ishikawa, arbres logiques droits et gauches, cartes mentales droites et gauches et même cartes conceptuelles
il propose un excellent module de présentation, y compris en ligne
il permet de partager ses cartes sur le net, y compris des cartes interactives intégrées dans votre site web
il offre un système de marque-pages et de gestion des liens très intéressant pour gérer l’information
il est très bon marché compte tenu de ces caractéristiques
et, last but not least, c’est désormais un logiciel multiplateforme qui se lie avec des applications en ligne et non des moindre !
Un vrai logiciel de mindmapping multiplateforme
Mindomo se conjugue sur tous les supports ou presque :
Mindomo, un logiciel multiplateforme
Mindomo est toujours accessible en ligne : et ce, quel que soit votre navigateur, Chrome, Firefox, Internet Explorer ou Safari.
La version PC, bureau ou portable, fonctionne sur les trois systèmes d’exploitation : Windows, Mac OS et Linux.
Des versions existent également sur tablettes : iPad (Apple) et Android. Les smartphones Android ont également leur version : j’ai dessiné plusieurs cartes mentales et conceptuelles sur mon Samsung Galaxy Grand sans aucun problème.
Que ce soit sur les tablettes ou sur les smartphones, l’ensemble des fonctionnalité de mindmapping et d’autres structures sont présentes. Y compris le module de présentation. J’ai essayé de créer des présentations sur iPad et j’ai été bluffé et du résultat, et de la facilité avec laquelle j’ai pu réaliser ces présentations.
Des cartes et des fonctionnalités identiques sur tous les supports
J’ai effectué quelques essais de création de cartes avec Mindomo sur mon smartphone Android et voici les résultats.
Carte mentale sur smartphone Android
Carte créée sur un smartphone Android
L’application présente grosso modo les mêmes caractéristiques : intégration d’images, d’icones, de flèches, de limites, etc. Les sujets flottants peuvent devenir des cartes mentales secondaires, etc.
Les cartes peuvent être sauvegardées localement (sur le smartphone ou la tablette) ou dans le cloud. Elles peuvent aussi être partagées via e-mail ou Dropbox, etc.
Une des caractéristiques les plus intéressantes, est la « synchronisation » des cartes mentales ou conceptuelles réalisées sur les différentes plateformes : je peux synchroniser en quelques secondes les mindmaps de mon bureau avec mon compte en ligne et mes applications sur iPad, tablette ou smartphone Android !
Carte conceptuelle sur smartphone Android
Ce qui m’intéressait aussi énormément chez Mindomo, c’est la possibilité de créer d’autres objets graphiques que les mindmaps ou cartes mentales. Je travaille aussi avec des cartes conceptuelles. C’est une structure présente sur Mindomo en ligne et sur le logiciel de bureau. Mais qu’en est-il des applications du type Android ou iPad ?
J’ai donc fait l’essai et voici le résultat :
Essai de concept map
Mindomo et Google Apps : une combinaison gagnante pour les équipes
Mindomo est également présent dans les Google Apps : votre entreprise peut donc partager toutes les cartes et documents à partir des applications google attachées à votre nom de domaine.
Par exemple, si votre entreprise possède le nom de domaine http://www.bizzplus.eu, tous les employés qui disposent d’une adresse du type truc@bizzplus.eu disposeront d’une entrée dans Mindomo à partir des applications Google.
C’est l’administrateur du compte qui ouvre le droit à l’utilisation de l’application. Mindomo fait donc partie de la panoplie d’outils collaboratifs en ligne de l’équipe sous le même nom de domaine.
Liaison et intégration avec Google Drive, Dropbox et Evernote
En plus d’exister sur de multiples plateformes et standards, Mindomo propose des liaisons avec différents services.
Vous pouvez importer et sauvegarder vos cartes depuis et sur Dropbox et Google Drive : une autre façon de s’assurer que tout le monde peut partager les mindmaps et autres documents dans l’entreprise où que les collaborateurs se trouvent – dans le bureau d’à côté ou bien à Djakarta, cela fait peut de différence quand vous travaillez sur une même carte mentale en ligne…
Mindomo peut également être lié à Evernote, le gestionnaire de notes et de référence le plus populaire au monde : une aubaine tant pour les entreprises que pour les étudiants qui doivent stocker et retrouver rapidement d’importantes masses de données…
Conclusion : un vrai logiciel de mindmapping collaboratif et multiplateformes
Ma conclusion est simple : Mindomo est un véritable logiciel de mindmapping collaboratif et multiplateformes.
Il offre non seulement des caractéristiques intéressantes sur tous les supports – PC de bureau, PC portables, tablettes et smartphones – mais il propose également une synchronisation très rapide de tous ces outils.
La collaboration en ligne en temps réel (synchrone) est très fluide et très efficace.
Et ses possibilités de liaison avec des outils du cloud comme Evernote, Google Drive et Dropbox en fait un logiciel du 21e siècle.
C’est d’ailleurs pourquoi je l’ai adopté pour mes ateliers et mes formations en entreprise. Je vous en dirai plus bientôt sur d’autres caractéristiques de ce logiciel.
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